Pour beaucoup de
personnes, le corps est un maitre exigeant, les courbant à tous ses
caprices et ses désirs, pour d'autres il est une vitrine exposant la
vanité et le besoin de paraitre. Alors elles sont esclaves de leur
aspect physique et dépendantes des exigences de leur corps. Le sens
normal de la maîtrise des choses c'est : l'esprit > l'âme > le corps.
Notre corps ne doit pas être le maître et nos sens ne peuvent être la
source de nos choix et de nos décisions. Lorsque la chair inspire et
commande notre vie, nous devenons des êtres superficiels, esclaves de
passions et de désirs qui conduisent dans toutes sortes de dérèglements
et pour finir de détresses morales et physiques. La Bible parle de
l'usage naturel du corps mais aussi d'un usage contre nature. Il y a des
choses qui détruisent la santé physique et l'équilibre psychologique car
elles ne sont pas compatibles avec notre nature normale. Non seulement
elles sont nuisibles mais elles nous asservissent. Ce sont des passions
au nombre desquelles on trouve l'ivrognerie, les excès de nourriture, le
tabac, les drogues (douces ou dures), la sexualité obsédante conduisant
à des comportements impurs : l'impudicité, la luxure, les mœurs
dissolus. Si nous n'y prenons garde les désirs de la chair nous
entrainent vers ces choses et nous en devenons esclaves. Notre corps
est une chose merveilleuse, un organisme de haute technologie dont le
fonctionnement nous émerveille. Il est précieux en ce qu'il nous permet
de jouir des bonheurs simples de la vie terrestre, si nous savons
l'utiliser avec sagesse. Il est un instrument à notre service.
Malheureusement la plupart des gens sont excessivement préoccupés par
leur aspect physique. Or la partie la plus importante de l'être humain
c'est son âme, comme le dit Jésus : « Et que sert-il à un homme de
gagner tout le monde, s’il perd son âme ? Que donnerait un homme en
échange de son âme ? » Marc 8.36,37 Notre corps est un serviteur et à
ce titre il doit être maitrisé. La Bible enseigne la maîtrise de soi,
non seulement de nos sentiments mais aussi de notre corps.
Maîtriser
son corps « Lorsque Paul écrit qu'il tient son corps assujetti, cela
veut dire qu'il ne le laisse pas gouverner sa vie mais que ses membres
sont à son service. » 1 Corinthiens 9.27 « Nous bronchons tous de
manières différentes », dit l'apôtre Jacques et nous sommes sollicités
par des tentations que nous ne pouvons pas toujours surmonter. L'apôtre
Paul qui décrit son combat contre le péché exprime l'impuissance de
l'être humain a vaincre ses tendances charnelles. « Misérable que je
suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?… » Romains 7.24
Cependant le même apôtre écrira aussi : « Mais je traite durement mon
corps et je le tiens assujetti, de peur d’être moi–même rejeté, après
avoir prêché aux autres. » 1 Corinthiens 9.27 "Que chacun de vous
sache posséder son corps dans la sainteté et l'honnêteté, …" 1
Thessaloniciens 4.4... Il cite en exemple les athlètes qui
concourent pour la victoire : « Ne savez–vous pas que ceux qui
courent dans le stade courent tous mais qu’un seul remporte le prix ?
Courez de manière à le remporter. Tous ceux qui combattent s’imposent
toute espèce d’abstinences et ils le font pour obtenir une couronne
corruptible ; mais nous, faisons–le pour une couronne incorruptible. » 1
Corinthiens 9.24 Nous connaissons les principes de l'athlétisme : la
rigueur, l'entrainement, la sobriété. Acquérir la force pour surmonter
la paresse, la lassitude, le découragement, la fatigue. Il s'agit pour
l'athlète d'une force morale et physique. Pour les disciples de
Christ, la force est spirituelle et elle a sa source dans le Seigneur,
ce qui ne veut pas dire que nous n'ayons rien à faire. Il nous faut
prendre des résolutions fermes et pratiquer une discipline spirituelle
dont les principaux exercices sont la prière et la lecture de la Parole
de Dieu. Cela s'appelle l'exercice de la piété. « Exerce-toi à la
piété ; car l’exercice corporel est utile à peu de chose, tandis que la
piété est utile à tout, ayant la promesse de la vie présente et de celle
qui est à venir. » 1 Timothée 4.8 Ce que l'apôtre Paul recommandait à
Timothée, il l'avait lui-même mis en pratique et il pouvait proclamer :
« Moi donc, je cours, non pas comme à l’aventure ; je frappe, non pas
comme battant l’air. Mais je traite durement mon corps et je le tiens
assujetti, de peur d’être moi–même rejeté, après avoir prêché aux
autres. » 1 Corinthiens 9.23 Il écrit encore : « J’ai combattu le
bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais la
couronne de justice m’est réservée ; le Seigneur, le juste juge, me la
donnera dans ce jour–là et non seulement à moi mais encore à tous ceux
qui auront aimé son avènement. » 2 Timothée 4.7 L'apôtre Jacques
parle de tenir son corps en bride, lorsqu'il écrit que la langue est le
membre le plus difficile à maitriser. « Nous bronchons tous de
plusieurs manières. Si quelqu’un ne bronche point en paroles, c’est un
homme parfait, capable de tenir tout son corps en bride. » Jacques 3.2 Notre corps est souvent l'instrument de notre âme pour satisfaire
nos convoitises. C'est pourquoi nous sommes invités à veiller, à nous
tenir sur nos gardes, au sujet des choses qui sollicitent nos sens.
« Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre
convoitise. Puis la convoitise, lorsqu’elle a conçu, enfante le péché ;
et le péché, étant consommé, produit la mort. » Jacques 1.14,15 Le
Seigneur Jésus nous exhorte au sujet de la tentation : « Veillez et
priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation ; l’esprit est bien
disposé mais la chair est faible. » Marc 14.38
Pécher contre son
corps La Bible parle du péché dans le corps et de pécher contre son
propre corps : « Fuyez l’impudicité. Quelque autre péché qu’un homme
commette, ce péché est hors du corps ; mais celui qui se livre à
l’impudicité pèche contre son propre corps. » 1 Corinthiens 6.18 Il
est encore écrit que le péché peut régner, dominer, dans notre corps et
que nos membres peuvent lui être livrés. « Que le péché ne règne donc
point dans votre corps mortel et n’obéissez pas à ses convoitises. Ne
livrez pas vos membres au péché, comme des instruments d’iniquité ; mais
donnez-vous vous-mêmes à Dieu, comme étant vivants de morts que vous
étiez et offrez à Dieu vos membres, comme des instruments de justice. »
Romains 6.12-13 Il y a donc des péchés qui concernent directement
notre corps (l'ivrognerie, les excès de nourriture, le tabac, les
drogues, les vices et les passions de la sexualité, l'impudicité, la
luxure, les mœurs dissolus, etc.) dont nous devons nous abstenir car ils
nuisent à l'équilibre et à la santé, ils agissent "contre" notre corps
et le détruisent, ils freinent l'œuvre du Saint-Esprit et l'empêchent
d'utiliser nos membres comme il le voudrait : « Ne savez–vous pas que
vous êtes le temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en vous ?
Si quelqu’un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le temple
de Dieu est saint et c’est ce que vous êtes. » 1 Corinthiens 3.16,17
Notre corps peut être au service du bien, ou au contraire être un
instrument du mal, au service de la justice ou service du péché, au
service de Dieu ou au service du diable. Or nous sommes exhortés à
surmonter le mal par le bien, à nous préserver des souillures de la
chair et de l'esprit, à mettre nos corps au service de Dieu. « Ne te
laisse pas vaincre par le mal mais surmonte le mal par le bien. »
Romains 12.21 « ... purifions–nous de toute souillure de la chair et
de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. »
2 Corinthiens 7.1 « Je vous exhorte donc, frères, par les
compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant,
saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable.
» Romains 12.1 Comparant le baptême d'eau à la mort avec Christ afin
de vivre en Lui une vie nouvelle, l'apôtre Paul écrit : « Nous avons
donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme
Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous
aussi nous marchions en nouveauté de vie. En effet, si nous sommes
devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le
serons aussi par la conformité à sa résurrection, sachant que notre
vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût
détruit, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché ; car celui qui
est mort est libre du péché. » Romains 6.4-7 L'Esprit de Dieu a
inspiré la méthode efficace pour vaincre le péché : donner son corps à
Dieu, lui offrir ses membres. « Ainsi vous–mêmes, regardez-vous comme
morts au péché et comme vivants pour Dieu en Jésus–Christ. Que le
péché ne règne donc point dans votre corps mortel et n’obéissez pas à
ses convoitises. Ne livrez pas vos membres au péché, comme des
instruments d’iniquité ; mais donnez-vous vous–mêmes à Dieu, comme étant
vivants de morts que vous étiez, et offrez à Dieu vos membres, comme des
instruments de justice. Car le péché n’aura point de pouvoir sur vous,
puisque vous êtes, non sous la loi mais sous la grâce. » Romains 6.11-14
Notre corps est pour le Seigneur Il y a une réalité spirituelle dont
nous devons être conscients, c'est la dimension de la rédemption qui
englobe notre être entier. "Le corps est pour le Seigneur et le
Seigneur pour le corps." 1 Corinthiens 6.13 Notre corps participe à
la rédemption, il a été racheté par l'offrande du corps de Christ sur la
croix et il devient un instrument au service de Dieu. Le salut que Dieu
nous accorde par la foi en son Fils Jésus-Christ touche tout notre être
: l'esprit, l'âme et le corps. La sanctification, la restauration, la
guérison et beaucoup d'autres bénédictions divines concernent aussi
notre corps. « Que le Dieu de paix vous sanctifie lui–même tout
entiers et que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit
conservé irrépréhensible, lors de l’avènement de notre Seigneur
Jésus–Christ ! » 1 Thessaloniciens 5.23 Notre corps participe au
royaume de Dieu dès ici-bas et de ce fait, nous devons veiller à ce
qu'il glorifie Dieu. « Car vous avez été rachetés à un grand prix.
Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui
appartiennent à Dieu. » 1 Corinthiens 6.20 La rédemption est l'œuvre
du rachat que le Seigneur Jésus-Christ a accomplie par le sacrifice de
sa vie sur la croix et cette œuvre comprend plusieurs éléments. Christ
nous a rachetés de plusieurs choses :
En lui nous
avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la
richesse de sa grâce. Éphésiens 1.7
- De la malédiction de la loi
« Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu
malédiction pour nous–car il est écrit : Maudit est quiconque est pendu
au bois. » Galates 3.13
- De notre ancienne manière de vivre
«
Sachant que ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou
de l’or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que
vous aviez héritée de vos pères mais par le sang précieux de Christ,
comme d’un agneau sans défaut et sans tache. » 1 Pierre 1.18
- De la
puissance du Diable
« Ainsi donc, puisque les enfants participent au
sang et à la chair, il (Christ) y a également participé lui–même, afin
que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort,
c’est–à–dire le diable et qu’il délivrât tous ceux qui, par crainte de
la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude. » Hébreux
2.14 En résumé, le but de la rédemption, c'est de nous délivrer de ce
qui dominait sur nous, le péché, la malédiction, la puissance du diable,
etc. afin que nos appartenions à un autre, c’est-à-dire à Celui qui nous
a rachetés par son sang. « De même, mes frères, vous aussi vous avez
été, par le corps de Christ, mis à mort en ce qui concerne la loi, pour
que vous apparteniez à un autre, à celui qui est ressuscité des morts,
afin que nous portions des fruits pour Dieu. » Romains 7.4 Les
rachetés, cités dans le livre de l'Apocalypse, le proclament
glorieusement : « Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant :
Tu es digne de prendre le livre et d’en ouvrir les sceaux ; car tu as
été immolé et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute
tribu, de toute langue, de tout peuple et de toute nation ; tu as fait
d’eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu et ils régneront
sur la terre. » Apocalypse 5.9,10 Comprenons aussi que non seulement
notre âme et notre esprit sont rachetés mais que notre corps participe
également à la rédemption afin d'être délivré du péché et du malin pour
servir et glorifier Dieu. « Car vous avez été rachetés à un grand
prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui
appartiennent à Dieu. » 1 Corinthiens 6.20 L'apôtre Paul parlait de
son corps comme d'un vase de terre qui portait un trésor, celui de la
connaissance de Dieu et du Seigneur Jésus-Christ. « Nous portons ce
trésor dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit
attribuée à Dieu et non pas à nous. » » 2 corinthiens 4.7 Il est
question des vases de la maison de Dieu "Dans une grande maison, il
n’y a pas seulement des vases d’or et d’argent mais il y en a aussi de
bois et de terre ; les uns sont des vases d’honneur et les autres sont
d’un usage vil. Si donc quelqu’un se conserve pur, en s’abstenant de ces
choses, il sera un vase d’honneur, sanctifié, utile à son maître, propre
à toute bonne œuvre. » 2 Timothée 2.20 Dieu veut que notre corps soit
saint : « Ce que Dieu veut, c’est votre sanctification ; c’est que
vous vous absteniez de l’inconduite ; c’est que chacun de vous sache
tenir son corps dans la sainteté et l’honnêteté, sans se livrer à une
convoitise passionnée comme font les païens qui ne connaissent pas Dieu.
» 1 Thessaloniciens 4.3 Nous devons le maintenir dans la sainteté et
l'honnêteté, comme un vase pur, sanctifié, qui sera utile et propre à
toute bonne œuvre. "Si donc quelqu’un se conserve pur, en s’abstenant
de ces choses, il sera un vase d’honneur, sanctifié, utile à son maître,
propre à toute bonne œuvre." 2 Timothée 2.21
Le Seigneur est pour le
corps C'est la seconde partie du verset : "Le corps est pour le
Seigneur et le Seigneur pour le corps." 1 Corinthiens 6.13 Cette
parole nous fait comprendre la nécessité de reconnaître que notre corps
appartient au Seigneur et qu'il nous demande de le lui offrir
volontairement. Elle contient aussi une promesse par laquelle le
Seigneur s'engage a prendre soin de notre corps. C'est ce que Jésus
enseigne lorsqu'il dit à ses disciples de chercher premièrement le
Royaume de Dieu. « Ne vous inquiétez donc point et ne dites pas :
-Que mangerons-nous ? que boirons-nous ? de quoi serons-nous vêtus ? Car
toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père
céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le
royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données
par–dessus. » Matthieu 6.19-33 Nous devons bien considérer les
paroles de Jésus qui sont très explicites : Dieu se préoccupe des
besoins de notre corps. C'est ce qu'écrit aussi l'apôtre Pierre : «
Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis car lui–même prend soin de
vous. » 1 Pierre 5.7 C'est vrai d'une manière générale, Dieu veillant
sur les lois qu'il a établies dès le commencement afin que ses créatures
aient sur la Terre tout ce qui contribue à la vie. « Le Dieu qui a
fait le Monde et tout ce qui s’y trouve, étant le Seigneur du ciel et de
la terre, n’habite point dans des temples faits de main d’homme ; il
n’est point servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de
quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes
choses. Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang,
habitassent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée
des temps et les bornes de leur demeure ; il a voulu qu’ils cherchassent
le Seigneur et qu’ils s’efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien
qu’il ne soit pas loin de chacun de nous car en lui nous avons la vie,
le mouvement et l’être. » Actes 17.24-28 « Ce Dieu, dans les âges
passés, a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies,
quoiqu’il n’ait cessé de rendre témoignage de ce qu’il est, en faisant
du bien, en vous dispensant du ciel les pluies et les saisons fertiles,
en vous donnant la nourriture avec abondance et en remplissant vos cœurs
de joie. » Actes 14.16,17 Nous avons peut-être besoin de restaurer
notre foi dans la providence divine et de proclamer avec assurance les
paroles de Dieu concernant sa bonté et sa bienveillance permanente à
l'égard des êtres humains, même envers ceux qui ne le cherchent pas.
« Car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons et il
fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. » Matthieu 5.45 Et
d'une manière plus personnelle nous devons mettre en lui notre confiance car il connait chacun d'entre nous et il sait tout ce dont nous avons besoin pour notre vie quotidienne. (voir les études sur " La Providence divine ") La santé et la guérison de notre corps
"Le Seigneur est pour le corps" veut dire aussi qu'il est Celui qui renouvelle nos forces physiques et nous guérit de nos maladies. Dieu se soucie de notre santé physique comme celle de notre âme : «
Bien–aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme. » 3 Jean 1.2 Il est écrit :
« Confie–toi en l’Éternel de tout ton cœur et ne t’appuie pas sur ta
sagesse ; Reconnais-le dans toutes tes voies et il aplanira tes
sentiers. Ne sois point sage à tes propres yeux, Crains l’Éternel et
détourne-toi du mal : Ce sera la santé pour tes muscles et un
rafraîchissement pour tes os. » Proverbes 3.5-8 Par sa Parole, Dieu
nous donne des instructions précieuses pour notre santé et la guérison
de nos maladies ou de nos infirmités, si nous l'écoutons.
« Mon
fils, sois attentif à mes paroles, Prête l’oreille à mes discours.
Qu’ils ne s’éloignent pas de tes yeux ; Garde-les dans le fond de ton
cœur ; car c’est la vie pour ceux qui les trouvent, C’est la santé
pour tout leur corps. » Proverbes 4.20-22 Par son Esprit, dont notre
corps est le temple, le Seigneur renouvelle nos forces et restaure notre
santé. « Il donne de la force à celui qui est fatigué et il augmente
la vigueur de celui qui tombe en défaillance. Les adolescents se
fatiguent et se lassent et les jeunes hommes chancellent ; Mais ceux
qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le
vol comme les aigles ; Ils courent et ne se lassent point, Ils marchent
et ne se fatiguent point. » Ésaïe 40.29-31 « Mon âme, bénis l’Éternel
et n’oublie aucun de ses bienfaits ! C’est lui qui pardonne toutes
tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies ; C’est lui qui délivre
ta vie de la fosse, qui te couronne de bonté et de miséricorde ;
C’est lui qui rassasie de biens ta vieillesse, qui te fait rajeunir
comme l’aigle. » Psaume 103.2 La guérison divine est un élément de
l'œuvre de rédemption accomplie par Jésus sur la croix. « Cependant,
ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il
s’est chargé ; et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu et
humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos
iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui et
c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » Ésaïe 53.4,5 «
Le soir, on amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les
esprits par sa parole et il guérit tous les malades, afin que
s’accomplît ce qui avait été annoncé par Esaïe, le prophète : Il a pris
nos infirmités et il s’est chargé de nos maladies. » Matthieu 8.16,17
« Lui qui a porté lui–même nos péchés en son corps sur le bois, afin que
morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les
meurtrissures duquel vous avez été guéris. » 1 Pierre 2.24 Retrouvez
les études à ce sujet dans le sommaire "Guérison divine", de PasteurWeb)

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