C'est une évidence à laquelle personne n'échappe : la mort est présente
dans toutes les espèces de vie sur la Terre. Devant elle tous sont égaux
: riches et pauvres, grands et petits, faibles ou puissants, justes et
injustes. Il y a quelques temps, dans un article sur
Le temps de
vivre, j'écrivais :
"Nous sommes tributaires du temps qui passe et
l'Ecclésiaste a écrit : "il y a un temps pour vivre et un temps pour
mourir !" La plupart des gens appréhendent de mourir mais ils
s'efforcent de ne pas y penser. Et puis la vie, ou ce qu'ils croient
être la vie, les entraîne dans un tourbillon effréné et agité qui fait
souvent dire à propos de bien des choses : "Pas le temps !" Que nous
l'ayons ou pas il faudra prendre le temps de mourir, c'est obligé ! Et
puis "la grande faucheuse" vient souvent brutalement au moment où l'on y
pense le moins, quel que soit l'âge : un accident, une maladie
foudroyante, une agression, etc. mourir peut-être rapide ! Un grand
acteur français disparu citait cette parole de l'Evangile écrite sur un
monument de son village natal : "Veillez et priez car personne ne sait
ni le jour ni l'heure". Le temps de mourir n'est pas négociable malgré
les grands progrès de la science médicale. Certains pensent choisir le
moment de leur mort en se suicidant mais ils agissent sous une sorte de
contrainte, la peur d'une fin de vie difficile, l'angoisse devant une
situation inextricable, le désespoir que produit une vie vide de sens...
Quelle que soit la forme que prend la mort...
« l’homme s‘en va vers sa
demeure éternelle. » Ecclésiaste 12.5 Nous devrions y réfléchir avec
sagesse et ne pas raisonner comme cet homme apparemment prévoyant mais
en réalité insensé, dont Jésus a parlé dans une parabole. « Et il
leur dit cette parabole : les terres d’un homme riche avaient beaucoup
rapporté. Et il raisonnait en lui-même, disant : -Que ferai-je ? car
je n’ai pas de place pour serrer ma récolte. Voici, dit-il, ce que je
ferai : j’abattrai mes greniers, j’en bâtirai de plus grands, j’y
amasserai toute ma récolte et tous mes biens ; et je dirai à mon âme :
Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années ;
repose-toi, mange, bois et réjouis-toi. Mais Dieu lui dit :
-Insensé !
cette nuit même ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé,
pour qui cela sera-t-il ? » Luc 12.16 L'Ecclésiaste a encore écrit :
« Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d’aller dans une maison
de festin ; car c’est là la fin de tout homme et celui qui vit prend la
chose à cœur. » Ecclésiaste 7.2 La mort une ennemie L'apôtre
Paul, dans son enseignement sur la résurrection, parle de la mort comme
le dernier ennemi détruit. « Et comme tous meurent en Adam, de même
aussi tous revivront en Christ mais chacun en son rang. Christ comme
prémices, puis ceux qui appartiennent à Christ, lors de son avènement. Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est
Dieu et Père, après avoir détruit toute domination, toute autorité et
toute puissance. Car il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis
tous les ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit,
c’est la Mort. » 1 Corinthiens 15.22 Le jour vient où la mort
n'existera plus : « Il essuiera toute larme de leurs yeux et la mort
ne sera plus et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur car les
premières choses ont disparu. » Apocalypse 21.4 Déjà, pour ceux qui
appartiennent à Christ, la mort est une ennemie vaincue car elle
n'effraie plus. « Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons
pas tous mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil,
à la dernière trompette. La trompette sonnera et les morts
ressusciteront incorruptibles et nous, nous serons changés. Car il
faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité et que ce corps
mortel revête l’immortalité. Lorsque ce corps corruptible aura revêtu
l’incorruptibilité et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité,
alors s’accomplira la parole qui est écrite : -La mort a été engloutie
dans la victoire. O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton
aiguillon ? L’aiguillon de la Mort, c’est le péché ; et la puissance
du péché, c’est la Loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous
donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! » 1 Corinthiens15.51
C'est du péché que la mort tient son pouvoir et c'est le péché qui
la rend redoutable. Mais lorsque nous avons cru en Jésus-Christ le péché
n'a plus de pouvoir sur nous et la peur de la mort disparait, du moins
il doit en être ainsi si notre foi est réelle. La mort devient ainsi
"un gain" selon ce que dit encore l'apôtre Paul : « ... car Christ
est ma vie et la mort m’est un gain. » Philippiens 1.21 La crainte
qu'elle provoque pour l'incroyant disparait faisant place à une
formidable espérance pour ceux qui ont placé leur foi en Jésus-Christ.
« J’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui est de
beaucoup le meilleur. » Philippiens 1.23 « Nous sommes donc toujours
pleins de confiance et nous savons qu’en demeurant dans ce corps nous
demeurons loin du Seigneur- car nous marchons par la foi et non par la
vue, nous sommes pleins de confiance et nous aimons mieux quitter ce
corps et demeurer auprès du Seigneur. C’est pour cela aussi que nous
nous efforçons de lui être agréables, soit que nous demeurions dans ce
corps, soit que nous le quittions. » 2 Corinthiens 5.6-8 Les paroles
de Jésus nous rassurent pleinement : Jésus lui dit :
« Moi, je
suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même
il serait mort ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais.
Crois–tu cela ? » Jean 11.25 Être prêt On cite souvent un texte
biblique au sujet de la mort : "prépare–toi à la rencontre de ton Dieu".
Cependant ces paroles n'ont pas été adressées à une personne qui allait
mourir mais comme un avertissement donné à Israël, par le prophète Amos,
dans une circonstance bien précise. Dieu allait frapper son peuple d'un
jugement à cause de ses infidélités : « Je vous ai bouleversés, Comme
Sodome et Gomorrhe, que Dieu détruisit ; et vous avez été comme un tison
arraché de l’incendie. Malgré cela, vous n’êtes pas revenus à moi, dit
l’Éternel… C’est pourquoi je te traiterai de la même manière, Israël
; et puisque je te traiterai de la même manière, Prépare-toi à la
rencontre de ton Dieu, O Israël ! » Amos 4.11 Alors que veut dire
être prêt ? Il y a-t-il une préparation particulière pour "bien mourir ?
Mourir en état de grâce comme on le dit parfois. Je crois plutôt que
pour bien mourir il faut bien vivre, vivre de façon à plaire à Dieu.
Voici quelques paroles de la Bible à ce sujet : « On t’a fait
connaître, ô homme, ce qui est bien ; et ce que l’Éternel demande de
toi, C’est que tu pratiques la justice, que tu aimes la miséricorde et
que tu marches humblement avec ton Dieu. Dieu ne fait point acception de
personnes mais qu’en toute nation celui qui le craint et qui pratique la
justice lui est agréable. » Actes 10.34 « Celui qui marche dans
l’intégrité, qui pratique la justice et qui dit la vérité selon son
cœur. » Psaumes 15.2 Il est dit d'un homme de foi, vivant dans la
première partie de l'histoire du monde, qu'il marchait avec Dieu : «
Hénoc, après la naissance de Metuschélah, marcha avec Dieu trois cents
ans ; et il engendra des fils et des filles. » Genèse 5.22 Tout en
ayant une vie normale, une famille et une activité professionnelle,
Hénoc a vécu dans la foi en cherchant à plaire
à Dieu (Hébreux 11.5). Vous me direz et je le crois aussi, qu'il n'y a pas d'homme juste.
Cependant, Dieu a pourvu à notre manque de justice. « Car tous ont
péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement
justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en
Jésus-Christ. C’est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être,
pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer justice,
parce qu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps
de sa patience, afin, dis-je, de montrer sa justice dans le temps
présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi
en Jésus. » Romains 3.23 La foi en Jésus-Christ est le moyen unique
d'être purifiés de nos péchés, justifiés devant Dieu, afin d'être agréer
par Lui. L'apôtre Paul a écrit : « Je vis dans la foi au Fils de
Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. » Galates 2.20
Vivre dans la foi en Jésus-Christ signifie non seulement que nous
croyons à la valeur de son sacrifice pour le pardon de nos péchés mais
encore que nous demeurions en communion avec Lui. « Si nous marchons
dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes
mutuellement en communion et le sang de Jésus son Fils nous purifie de
tout péché. » 1 Jean 1.7 Jésus dit à ce sujet : « Je suis la
lumière du Monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres
mais il aura la lumière de la vie. » Jean 8.12 Vivre dans la foi au
Fils de Dieu, c'est s'attacher à lui et le suivre en obéissant à sa
Parole. « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma
parole et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne
vient point en jugement mais il est passé de la mort à la vie. » Jean
5.24 L'apôtre Jean enseigne que si nous mettons notre foi
dans le Fils de Dieu nous avons la vie éternelle (1 Jean 5.11-13). La foi est
une ferme assurance ! Or mettre sa foi en Jésus-Christ c'est avoir la
certitude qu'il nous a sauvés et nous a donné la vie éternelle, comme
l'écrit encore l'apôtre Jean : « Celui qui croit au Fils de Dieu a ce
témoignage en lui-même ; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur,
puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et
voici ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle et que
cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui
n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses,
afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au
nom du Fils de Dieu. » 1 Jean 5.10 Dans un passage de l'Apocalypse
nous lisons : « Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le
Seigneur ! » Apocalypse 14.13 Cette expression précise la situation
de ceux qui meurent dans la foi en Christ après avoir vécu dans la foi
en Lui. Mourir et après Voici une question qui trotte dans la tête
de beaucoup de personnes : - "Que devient-on après la mort ?" Toutes les
religions ont leurs réponses mais toutes les réponses ne sont pas
bonnes. L'une enseigne que l'âme du défunt se réincarne sous une
autre forme de vie, l'autre qu'il existe un paradis avec toutes sortes
de félicités, même des jeunes filles vierges à la disposition de ceux
qui auront pratiqué fidèlement leur religion.
Dans les traditions et
coutumes animistes on croit que les esprits des morts sont présents
parmi les vivants et parfois dans une personne ou un animal.
Beaucoup de religions ont un culte des morts fait de rituels, cérémonies
et pratiques étranges. Certains placent sur les tombes des aliments pour
les défunts, parfois on y prend des repas lors de certaines fêtes pour
être en communion avec les morts, on verse des libations ou on offre des
sacrifices d'animaux pour satisfaire ou apaiser les esprits. Beaucoup
croient que les esprits des morts peuvent communiquer avec les vivants
et qu'ils nous voient. Il n'en est rien. « Les vivants, en effet,
savent qu’ils mourront ; mais les morts ne savent rien et il n’y a pour
eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. Et leur amour et
leur haine et leur envie, ont déjà péri ; et ils n’auront plus jamais
aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil. » Ecclésiaste 9.5
Dans la religion catholique il existe le Ciel, l'Enfer, le Purgatoire et
même les limbes où iraient les bébés qui meurent sans être baptisés.
En Europe nous sommes imprégnés d'un christianisme marqué par la
doctrine catholique et ses traditions. On célèbre des "messes' et on
récite des prières pour les âmes qui vont au purgatoire, des fêtes ont
été instituées en souvenirs des morts, particulièrement "le jour des
morts" le lendemain de la fête de Toussaint. le catholicisme a institué
le culte des saints. Certains personnage reconnus et béatifiés ont une
place particulière dans la dévotion des fidèles. On leur a édifié des
statues devant lesquelles les gens se prosternent et prient en faisant
parfois brûler des bougies ou des cierges. Il existe des lieux de
pèlerinages célèbres où se rendent des foules attirées par l'espoir de
miracles, de guérisons ou d'exaucement. En fait, les gens cherchent
les intercesseurs les plus influents auprès de Dieu, oubliant ce qui est
écrit : « Car il y a un seul Dieu et aussi un seul médiateur entre
Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en
rançon pour tous. » 1 Timothée 2.5 « Lui, parce qu’il demeure
éternellement, possède un sacerdoce qui n’est pas transmissible. C’est
aussi pour cela qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de
Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. »
Hébreux 7.25 « Ceux qui sont morts, aussi saints qu'ils aient été,
n'ont plus aucune part à ce qui fait sur la terre. Ils ne peuvent pas
communiquer avec les vivants pour les entendre ou leur parler. »
Ecclésiaste 9.6 Un autre passage nous met en garda contre certaines
pratiques : « Qu’on ne trouve parmi vous personne qui offre son fils
ou sa fille en sacrifice, ni personne qui s’adonne à la magie ou à la
divination, qui observe les présages ou se livre à la sorcellerie, qui
jette des sorts ou qui interroge d’une manière ou d’une autre les
esprits des morts. » Deutéronome 14.10 Où vont-ils ? que font-ils ?
Le plus sûr et le plus simple c'est de nous en tenir à ce qui est
enseigné dans la Bible, la Parole de Dieu. Il y
est question de plusieurs lieux dans lesquels vont ceux qui meurent Premièrement le
séjour des morts, celui qui est mentionné dans l'Ancien Testament et
dans lequel allaient les esprits de tous ceux qui mourraient avant la
mort et la résurrection du Seigneur Jésus-Christ. Il comprenait deux
parties dont Jésus a parlé selon ce qui est rapporté dans l'Evangile de
Luc. « Le pauvre mourut et fut porté par les anges dans le sein
d’Abraham. le riche aussi mourut et fut enseveli. Dans le séjour des
morts, il leva les yeux ; et, en proie aux tourments, il vit de loin
Abraham et Lazare dans son sein. Il s’écria : -Père Abraham, aie pitié
de moi et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans
l’eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre dans cette flamme.
Abraham répondit : -(Mon) enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens
pendant ta vie et que de même Lazare a eu les maux, maintenant il est
ici consolé et toi, tu souffres. En plus de tout cela entre nous et
vous se trouve un grand abîme afin que ceux qui voudraient passer d’ici
vers vous ne puissent le faire et qu’on ne parvienne pas non plus de là
vers nous. » Luc 16.22ss Ce récit indique deux lieux séparés sans
possibilité de passer de l'un dans l'autre : un lieu de souffrance pour
les uns et un lieu de repos et de consolation pour les autres appelé le
sein d'Abraham, c'est l'endroit dans lequel se trouvaient ceux qui
étaient morts dans l'espérance du Messie, le Sauveur annoncé par les
prophètes. Il est écrit que Jésus est descendu dans le séjour des
morts, qu'il a prêché aux esprits qui s'y trouvaient captifs (1 Pierre
3.19) et qu'il en est ressorti emmenant avec lui ceux qui ont accepté
son message (Ephésiens 4.8-10). La Bible mentionne aussi un lieu
appelé l'étang de feu et de souffre dans lequel seront jetés le
Diable,
ses anges, la Bête, le Faux Prophète et tous ceux dont le nom n'est pas
écrit dans le livre de vie de l'Agneau (Apocalypse 20.10 - 21.15) -
C'est le lieu du châtiment éternel (Matthieu 13.42, 25.46). Ce que nous
appelons l'Enfer. Aujourd'hui, ceux qui meurent dans leurs péchés ne
vont pas directement en Enfer mais dans ce qui reste du séjour des morts
en attendant le Jugement Dernier. « La mer rendit les morts qui
étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui
étaient en eux et ils furent jugés, chacun selon ses œuvres. La mort et
le séjour des morts furent jetés dans l’étang de feu. L’étang de feu,
c’est la seconde mort. » Apocalypse 20.11-13 Il est aussi question de
l'abîme, une sorte de prison dans laquelle sont enchaînés les anges qui
ont péché (2 Pierre 2.4). C'est le lieu au sujet duquel les démons
suppliaient Jésus de ne pas les envoyer (Luc 8.31). Un jour cet abîme
sera ouvert et des myriades de créatures épouvantables se répandront sur
la terre, comme un jugement de Dieu (Apocalypse 9). Satan y sera jeté et
lié pendant un temps (Apocalypse ch. 20). Enfin, il y a le ciel où les
apôtres Jean et Paul ont été enlevés en vision. C’est là que Jésus se
trouve maintenant, là où il intercède pour ceux qui invoquent son nom,
là où il nous prépare une place. « Le Seigneur, après leur avoir
parlé, fut enlevé au ciel et il s’assit à la droite de Dieu. » Marc
16.19 « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si
cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.
Et, lorsque je m’en serai allé et que je vous aurai préparé une place,
je reviendrai et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous
y soyez aussi. » Jean 14.2,3 C'est de cette place dont parle l'apôtre
Paul quand il écrit : « J’ai le désir de m’en aller et d’être avec
Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur. » Philippiens 1.23 Nous
disons aussi avec l'apôtre : « Nous aimons mieux quitter ce corps et
demeurer auprès du Seigneur. » 2 Corinthiens 5.8 Enfin concluons par
ces paroles pleines d'espérance : « Heureux dès à présent les morts
qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se
reposent de leurs travaux car leurs œuvres les suivent. » Apocalypse
14.13

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