Accueil EntreePasteurweb Presentation Introduction dossiers Temoignages

Accueil
Remonter
La nature humaine
Esprit, âme et corps
Notre corps 1
Notre corps 2
Notre corps 3
L'âme
L'intelligence
La  conscience
Le coeur humain
Le péché
Les tendances
La dépendance
Le mal du siècle
La sexualité
La sexualité pervertie
L'homosexualité
Le genre

Le temps de mourir

C'est une évidence à   laquelle personne n'échappe : la mort est présente dans toutes les espèces de vie sur la terre. devant elle tous sont égaux :  riches et pauvres, grands et petits, faibles ou puissants, justes et injustes.

Il y a quelques temps,  dans un article sur "Le temps de vivre", j'écrivais : "Nous sommes tributaires du temps qui passe et l'Ecclésiaste a écrit : "il y a un temps pour vivre et un temps pour mourir!"

La plupart des gens appréhendent de mourir mais ils  s'efforcent de ne pas y penser. Et puis la vie, ou ce qu'ils croient être la vie,  les entraîne dans un  tourbillon  effréné et agité qui fait souvent dire à propos de bien des choses : Pas le temps !"

Que nous l'ayons ou pas il faudra prendre le temps de mourir, c'est obligé ! Et puis "la grande faucheuse" vient souvent brutalement  au moment où l'on y  pense le moins, quelque soit l'âge : un accident, une maladie foudroyante, une agression, etc... mourir peut être rapide !

Un grand acteur français disparu citait cette parole de l'Evangile écrite sur un monument de son village natal : "Veillez et priez, car personne ne sait ni le jour  ni l'heure"

Le temps de mourir n'est pas négociable malgré les grands progrès de la science médicale. Certains pensent choisir le moment de leur mort en se suicidant, mais ils agissent sous une sorte de contrainte, la peur d'une fin de vie difficile, l'angoisse devant une situation inextricable, le désespoir que produit une vie vide de sens ...

Quelque soit la forme que prend  la mort ... l’homme s‘en va vers sa demeure éternelle.  Ecclésiaste 12.5

Nous devrions y réfléchir avec sagesse et ne pas raisonner comme cet homme apparemment prévoyant mais en réalité insensé,  dont Jésus a parlé dans une parabole.

Et il leur dit cette parabole: Les terres d’un homme riche avaient beaucoup rapporté.
Et il raisonnait en lui-même, disant: Que ferai-je? car je n’ai pas de place pour serrer ma récolte.
Voici, dit-il, ce que je ferai: j’abattrai mes greniers, j’en bâtirai de plus grands, j’y amasserai toute ma récolte et tous mes biens; et je dirai à mon âme: Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années; repose-toi, mange, bois, et réjouis-toi.
Mais Dieu lui dit: Insensé! cette nuit même ton âme te sera redemandée; et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il? Luc 12.16

L'Ecclésiaste a encore écrit :

Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d’aller dans une maison de festin; car c’est là la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose à cœur. Ecclésiaste 7:2

La mort une ennemie

L'apôtre Paul, dans son enseignement sur la résurrection, parle de la mort comme le dernier ennemi détruit.

Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ, mais chacun en son rang. Christ comme prémices, puis ceux qui appartiennent à Christ, lors de son avènement.
Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est Dieu et Père, après avoir détruit toute domination, toute autorité et toute puissance.
Car il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis tous les ennemis sous ses pieds.
Le dernier ennemi qui sera détruit, c’est la mort. 1 Corinthiens 15.22

Le jour vient où  la mort n'existera plus :

Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Apocalypse 21:4

Déjà, pour ceux qui appartiennent à Christ, la mort est une ennemie vaincue, car elle n'effraie plus.

Voici, je vous dis un mystère: nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés.
Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité.
Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: La mort a été engloutie dans la victoire.
O mort, où est ta victoire? O mort, où est ton aiguillon?
L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi.
Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!. 1 Corinthiens15.51

C'est du péché que la mort tient son pouvoir et c'est le péché qui la rend redoutable. Mais lorsque nous avons cru en Jésus-Christ le péché n'a plus de pouvoir sur nous et la peur de la mort disparait, du moins il doit en être ainsi si notre foi  est réelle.

La mort devient ainsi "un gain" selon ce que dit encore l'apôtre Paul :

... car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain. Philippiens 1:21

La crainte qu'elle provoque pour l'incroyant disparait faisant place à une formidable espérance pour ceux qui ont placé leur foi en Jésus-Christ. 

J’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui est de beaucoup le meilleur. Philippiens 1:23

Nous sommes donc toujours pleins de confiance, et nous savons qu’en demeurant dans ce corps nous demeurons loin du Seigneur- car nous marchons par la foi et non par la vue, nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur.
C’est pour cela aussi que nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions. 2 Corinthiens 5.6-8

Les paroles de Jésus nous rassurent pleinement :

Jésus lui dit : Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois–tu cela ? Jean 11.25

Etre prêt

On cite souvent un texte biblique au sujet de la mort : "prépare–toi à la rencontre de ton Dieu". Cependant ces paroles n'ont pas été  adressées à une personne qui allait mourir, mais comme un avertissement donné  à Israël,  par le prophète Amos, dans une circonstance bien précise. Dieu allait frapper son peuple d'un jugement à cause de ses infidélités :

Je vous ai bouleversés, Comme Sodome et Gomorrhe, que Dieu détruisit; Et vous avez été comme un tison arraché de l’incendie. Malgré cela, vous n’êtes pas revenus à moi, dit l’Eternel…
C’est pourquoi je te traiterai de la même manière, Israël; Et puisque je te traiterai de la même manière, Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu, O Israël! Amos 4.11

Alors que veut dire être prêt ? Il y a t-il une préparation particulière pour "bien mourir ? Mourir en état de grâce comme on le dit parfois.

Je crois plutôt que pour bien mourir il faut bien vivre,  vivre  de façon à plaire à Dieu. Voici quelques paroles de la Bible  à ce sujet :

On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien; Et ce que l’Eternel demande de toi, C’est que tu pratiques la justice, Que tu aimes la miséricorde, Et que tu marches humblement avec ton Dieu.

Dieu ne fait point acception de personnes, mais qu’en toute nation celui qui le craint et qui pratique la justice lui est agréable. Actes 10.34

Celui qui marche dans l’intégrité, qui pratique la justice et qui dit la vérité selon son cœur. Psaumes 15:2

Il est dit d'un homme de foi, vivant dans la première partie de l'histoire du monde, qu'il marchait avec Dieu :

Hénoc, après la naissance de Metuschélah, marcha avec Dieu trois cents ans; et il engendra des fils et des filles. Genèse 5:22

Tout en ayant une vie normale, une famille et une activité professionnelle,  Hénoc a vécu dans la foi en cherchant à plaire à Dieu. Hébreux 11.5

Vous me direz, et je le crois aussi, qu'il n'y a pas d'homme juste. Cependant, Dieu a pourvu à notre manque de justice.

Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ.
C’est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer  justice, parce qu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je, de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus. Romains 3.23

La foi en Jésus-Christ est le moyen unique  d'être purifiés de nos péchés, justifiés devant Dieu, afin  d'être agréer par Lui.

L'apôtre Paul a écrit : Je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Galates 2.20

Vivre dans la foi en Jésus-Christ signifie non seulement que  nous croyons à la valeur de son sacrifice pour le pardon de nos péchés, mais encore que nous demeurons en communion avec Lui.

Si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 1 Jean 1:7

Jésus dit à ce sujet :

Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. Jean 8:12

Vivre dans la foi au Fils de Dieu c'est s'attacher à lui et le suivre en obéissant à sa Parole.

En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. Jean 5:24

L'apôtre Jean enseigne  que si nous mettons notre foi dans le Fils de Dieu nous avons la vie éternelle. 1 Jean 5.11/13

La foi est une ferme assurance !  Or mettre sa foi en Jésus-Christ c'est avoir la certitude qu'il nous a sauvés et nous a donné la vie éternelle, comme l'écrit encore l'apôtre Jean :

Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils.
Et voici ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils.
Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie.
Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu.  1 Jean 5.10

Dans un passage de l'Apocalypse nous lisons :

Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Apocalypse 14:13

Cette expression précise la situation de ceux qui meurent dans la foi en Christ après avoir vécu dans la foi en Lui.

Mourir et après

Voici une question qui trotte dans la tête de beaucoup de personnes : Que devient t'on après la mort ?

Toutes les religions ont leurs réponses, mais toutes les réponses ne sont pas bonnes.

L'une enseigne que l'âme du défunt se réincarne sous une autre forme de vie, l'autre qu'il existe un paradis avec toutes sortes de félicités, même des jeunes filles vierges à la disposition de ceux qui auront pratiqué fidèlement leur religion. Dans les traditions et coutumes animistes on croit que  les esprits des morts sont présents parmi les vivants et parfois dans une personne ou un animal.

Beaucoup de religions ont un culte des morts fait de rituels, cérémonies et pratiques étranges.

Certains placent sur les tombes des aliments pour les défunts, parfois on y prend des repas lors de certaines fêtes pour être en communion  avec les morts, on verse des libations ou on offre des sacrifices d'animaux pour satisfaire ou apaiser les esprits.

Beaucoup croient que les esprits des morts peuvent communiquer avec les vivants et qu'ils nous voient. Il n'en est rien.

Les vivants, en effet, savent qu’ils mourront; mais les morts ne savent rien, et il n’y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée.
Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri; et ils n’auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil. Ecclésiaste 9.5

Dans la religion catholique il existe le ciel, l'enfer, le purgatoire et  même les limbes où iraient les  bébés qui meurent sans être  baptisés.

En Europe nous sommes imprégnés d'un christianisme marqué par la doctrine catholique et ses traditions. On célèbre des "messes' et on récite des prières pour les âmes qui vont au purgatoire, des fêtes ont été instituées en souvenirs des morts, particulièrement "le jour des morts" le lendemain de la fête de Toussaint. Le catholicisme a institué le culte des saints. Certains personnage reconnus et béatifiés ont une place particulière dans la dévotion des fidèles.  On leur a édifié des  statues devant lesquelles les gens  se prosternent  et  prient en faisant parfois brûler des bougies ou des cierges. Il existe des lieux de pèlerinages célèbres où se rendent des foules attirées par l'espoir de miracles, de guérisons ou d'exaucement.

En fait, les gens cherchent les intercesseurs les plus influents auprès de Dieu, oubliant ce qui est écrit :

Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. 1 Timothée 2.5

Lui, parce qu’il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui n’est pas transmissible. C’est aussi pour cela qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. Hébreux 7.25

Ceux qui sont morts, aussi saints qu'ils aient été, n'ont plus aucune part à ce qui fait sur la terre.  Ils ne peuvent pas communiquer avec  les vivants pour les entendre ou leur parler. Ecclésiaste 9:6

Un autre passage nous met en garda contre certaines pratiques :

Qu’on ne trouve parmi vous personne qui offre son fils ou sa fille en sacrifice, ni personne qui s’adonne à la magie ou à la divination, qui observe les présages ou se livre à la sorcellerie, qui jette des sorts ou qui interroge d’une manière ou d’une autre les esprits des morts. Deutéronome 14.10

Où vont-ils ? que font-ils ?

Le plus sûr et le plus simple c'est de nous en tenir à ce qui est enseigné dans la Bible, la Parole de Dieu.

Il y est question de plusieurs lieux dans lesquels vont ceux qui meurent.

Premièrement le séjour des morts, celui qui est mentionné dans l'Ancien Testament et dans lequel allaient les esprits de tous ceux qui mourraient avant la mort et la résurrection du Seigneur  Jésus-Christ.  Il  comprenait deux parties dont Jésus a parlé selon ce qui est rapporté dans l'Evangile de Luc. 

Le pauvre mourut et fut porté par les anges dans le sein d’Abraham. Le riche aussi mourut et fut enseveli.
Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, en proie aux tourments, il vit de loin Abraham et Lazare dans son sein.
Il s’écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre dans cette flamme.
Abraham répondit : (Mon) enfant, souviens–toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie et que de même Lazare a eu les maux, maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres.
En plus de tout cela entre nous et vous se trouve un grand abîme afin que ceux qui voudraient passer d’ici vers vous ne puissent le faire, et qu’on ne parvienne pas non plus de là vers nous.

Ce récit indique deux lieux séparés sans possibilité de passer de l'un dans l'autre : un lieu de souffrance pour les uns et  un lieu de repos et de consolation pour les autres appelé le sein d'Abraham, c'est l'endroit dans lequel se trouvaient ceux qui étaient morts dans l'espérance du Messie, le Sauveur  annoncé par les prophètes.

Il est écrit que Jésus est descendu dans le séjour des morts, qu'il a prêché aux esprits qui s'y trouvaient captifs (1 Pierre 3.19) et qu'il en est ressorti  emmenant avec lui ceux qui ont accepté son message. (Ephésiens 4.8/10)

La Bible mentionne aussi un lieu appelé l'étang de feu et de souffre dans lequel seront jetés le diable, ses anges, la bête, le faux prophète et tous ceux dont le nom n'est pas écrit dans le livre de vie de l'Agneau (Apocalypse 20.10 - 21.15) - C'est le lieu du châtiment éternel (Matthieu 13.42 et 25.46). Ce que nous appelons l'enfer.

Aujourd'hui, ceux qui meurent dans leurs péchés ne vont pas directement en enfer, mais dans ce qui reste du séjour des morts  en attendant le jugement dernier.

La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux, et ils furent jugés, chacun selon ses œuvres.
La mort et le séjour des morts furent jetés dans l’étang de feu. L’étang de feu, c’est la seconde mort. Apocalypse 20.11/13

Il est aussi question de l'abîme, une sorte de prison dans laquelle sont enchaînés les anges qui ont péché, 2 Pierre 2.4. C'est le  lieu au sujet duquel les démons suppliaient Jésus de ne pas les envoyer (Luc 8.31). Un jour cet abîme sera ouvert et des myriades de créatures épouvantables se répandront sur la terre, comme un jugement de Dieu (Apocalypse 9). Satan y sera jeté et lié pendant un temps (Apocalypse 20).

 

Enfin, il y a le ciel où les apôtres Jean et Paul ont été enlevés en vision. c'est là que Jésus se trouve maintenant, là où il intercède pour ceux qui invoquent son nom, là où il nous prépare une place.

Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s’assit à la droite de Dieu. Marc 16:19

Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.
Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Jean 14:2,3

C'est de cette place dont parle l'apôtre Paul quand il écrit : J’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur. (Philippiens 1:23).  

Nous disons aussi avec l'apôtre: Nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur. (2 Corinthiens 5:8).

Enfin concluons par ces paroles pleines d'espérance :

Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent. Apocalypse 14:13

Pour une description plus complète du ciel, lisez l'article :  Le ciel

Haut de page

Lire aussi : l'au delà