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Pâque

Chaque année à la même époque on célèbre la fête de Pâques dans les églises chrétiennes pour rappeler la résurrection du Seigneur Jésus-Christ, la semaine qui précède étant consacrée à commémorer la passion de Jésus, rappelant ses souffrances et sa mort sur la croix.

A l'origine, la Pâque est une fête juive, ordonnée par l'Eternel à Israël, en souvenir de la nuit où un agneau fut immolé et son sang appliqué sur les linteaux de la porte de chaque maison des Israélites, afin de les protéger de l'ange destructeur, qui devait entrer dans les maisons des Egyptiens.

Moïse appela tous les anciens d’Israël, et leur dit: Allez prendre du bétail pour vos familles, et immolez la Pâque.
Vous prendrez ensuite un bouquet d’hysope, vous le tremperez dans le sang qui sera dans le bassin, et vous toucherez le linteau et les deux poteaux de la porte avec le sang qui sera dans le bassin. Nul de vous ne sortira de sa maison jusqu’au matin.
Quand l’Eternel passera pour frapper l’Egypte, et verra le sang sur le linteau et sur les deux poteaux, l’Eternel passera par-dessus la porte, et il ne permettra pas au destructeur d’entrer dans vos maisons pour frapper.

Le mot pâque signifie "passage" et la fête célébrée par les juifs rappelle comment Dieu les protégea du destructeur. Les Israélites devaient commémorer leur délivrance en célébrant  la Pâque qui consistait en un repas particulier plein de symboles.

L’Eternel dit à Moïse et à Aaron dans le pays d’Egypte:
Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois; il sera pour vous le premier des mois de l’année.
Parlez à toute l’assemblée d’Israël, et dites: Le dixième jour de ce mois, on prendra un agneau pour chaque famille, un agneau pour chaque maison.
Si la maison est trop peu nombreuse pour un agneau, on le prendra avec son plus proche voisin, selon le nombre des personnes; vous compterez pour cet agneau d’après ce que chacun peut manger.
Ce sera un agneau sans défaut, mâle, âgé d’un an; vous pourrez prendre un agneau ou un chevreau.
Vous le garderez jusqu’au quatorzième jour de ce mois; et toute l’assemblée d’Israël l’immolera entre les deux soirs.
On prendra de son sang, et on en mettra sur les deux poteaux et sur le linteau de la porte des maisons où on le mangera.
Cette même nuit, on en mangera la chair, rôtie au feu; on la mangera avec des pains sans levain et des herbes amères.
Vous ne le mangerez point à demi cuit et bouilli dans l’eau; mais il sera rôti au feu, avec la tête, les jambes et l’intérieur.
Vous n’en laisserez rien jusqu’au matin; et, s’il en reste quelque chose le matin, vous le brûlerez au feu.
Quand vous le mangerez, vous aurez vos reins ceints, vos souliers aux pieds, et votre bâton à la main; et vous le mangerez à la hâte. C’est la Pâque de l’Eternel. Exode 12

L'ordonnance de la Pâque est une loi perpétuelle pour Israël et les juifs  la célèbrent toujours.

Vous observerez cela comme une loi pour vous et pour vos enfants à perpétuité.
Quand vous serez entrés dans le pays que l’Eternel vous donnera, selon sa promesse, vous observerez cet usage sacré.
Et lorsque vos enfants vous diront: Que signifie pour vous cet usage? Vous répondrez: C’est le sacrifice de Pâque en l’honneur de l’Eternel, qui a passé par-dessus les maisons des enfants d’Israël en Egypte, lorsqu’il frappa l’Egypte et qu’il sauva nos maisons. Le peuple s’inclina et se prosterna.

Existe-il une "pâque chrétienne" ?

On observe dans le livre des Actes des apôtres que les disciples de Jérusalem et les circoncis devenus disciples de Jésus-Christ, continuaient de se conformer à certaines traditions juives, comme la circoncision et autres observances de la loi de Moïse.

Cependant l'apôtre Paul, apôtre des incirconcis, qui a été chargé par le Seigneur Jésus-Christ de donner à l'Eglise sa doctrine, n'enseigne nulle part l'observance de fêtes "chrétiennes". Au contraire il reproche à certains de se conformer à des traditions vaines et inutiles. Voici ce qu'il écrivait aux Galates  :

O Galates, dépourvus de sens! qui vous a fascinés, vous, aux yeux de qui Jésus-Christ a été peint comme crucifié?
Voici seulement ce que je veux apprendre de vous: Est-ce par les œuvres de la loi que vous avez reçu l’Esprit, ou par la prédication de la foi?
Etes-vous tellement dépourvus de sens? Après avoir commencé par l’Esprit, voulez-vous maintenant finir par la chair?

Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi en Jésus-Christ; vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ.
Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ.

... lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme, né sous la loi, afin qu’il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l’adoption.
Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans nos coeurs l’Esprit de son Fils, lequel crie: Abba! Père!
Ainsi tu n’es plus esclave, mais fils; et si tu es fils, tu es aussi héritier par la grâce de Dieu.
Autrefois, ne connaissant pas Dieu, vous serviez des dieux qui ne le sont pas de leur nature,  mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous à ces faibles et pauvres rudiments, auxquels de nouveau vous voulez vous asservir encore?

Vous observez les jours, les mois, les temps et les années! Je crains d’avoir inutilement travaillé pour vous.

Les disciples de la Galatie s'étaient laissés séduire et entrainer à pratiquer les œuvres de la loi juive, par des circoncis qui ayant cru à Christ gardaient un attachement excessif  à leurs traditions religieuses.

L'être humain est par nature attaché à des coutumes et des traditions qui se transmettent de génération en génération. Il veut voir et sentir, vivre une religion des sens.

D'autre part le monde s'est approprié les fêtes "chrétiennes" dont l'objet principal est l'amusement, le manger et le boire.

Il y a certainement des personnes croyantes pour qui ces fêtes  ont une signification.  Cependant  la plupart des gens sont dans une complète ignorance d'une quelconque réalité spirituelle.

Pour les incroyants ou les croyants "non pratiquants" comme ils disent, elles ne sont que des occasions de jours fériés, de congé, de vacances, de réunions familiales et festives. Et puis aussi une opportunité pour les affaires commerciales. Pâques n'échappe pas à la règle.

Il serait opportun de connaitre l'origine de certaines traditions comme les œufs, les lapins et les cloches en chocolat que l'on offre aux enfants.

Voici l'extrait d'un article du journal La Dépêche, publié le 8 avril 2012 :

Mais pourquoi offre-t-on des œufs, du chocolat et que viennent faire cloches et lapins dans l'histoire ?

1. Une fête religieuse mêlée aux traditions païennes

Dans la religion juive, Pessa'h, la Pâque juive, commémore l'exode des Hébreux hors d'Égypte, emmenés par Moïse. Lors de leur premier repas d'hommes libres, ils ont sacrifié un agneau.

Pour les chrétiens, Pâques est également un des évènements principaux du calendrier, symbolique de la vie après la mort. Ce jour-là, ils célèbrent la résurrection du Christ, après sa crucifixion, le Vendredi saint.

Pâques met également fin à la période de carême, qui dure quarante jours. On retrouve des similitudes avec Pessa'h, notamment l'agneau. Pâques porterait ce nom car selon les Évangiles, la mort du Christ aurait eu lieu pendant la fête de Pessa'h.

On retrouve également Pâques dans les traditions païennes : c'est une période de renouveau, avec l'arrivée du printemps.

2. L'origine des œufs

En chocolat, en sucre, peints ou encore cuits : l'œuf est le symbole de la fête de Pâques. Chez les Égyptiens, les Perses et les Romains notamment, l'œuf est un symbole de vie, que l'on s'offrait au printemps. Plus largement, poules et poussins ont également revêtu la même symbolique.

Au Moyen-âge, il était interdit de manger des œufs pendant le carême. Or les poules de la maison ne s'arrêtaient pas pour autant de pondre ! De là vient la tradition de s'offrir des œufs décorés, avec le surplus. Une tradition qui est encore très présente dans certains pays, comme en Allemagne. Et qui explique également la forme d'œuf que prennent les chocolats.

3. Pourquoi les cloches ou les lapins ?

Depuis plusieurs siècles, il est interdit de sonner les cloches des églises catholiques entre le Jeudi saint et le dimanche de Pâques, en signe de deuil. Une tradition que l'on retrouve notamment en France, en Belgique ou en Italie.

On a alors raconté aux enfants que les cloches allaient se faire bénir par le Pape à Rome. En rentrant, elles viennent carillonner et déposent au passage dans les jardins les fameux œufs en chocolat tant attendus par les enfants.

En Allemagne et dans l'est de la France, c'est un lapin, aux États-Unis un lièvre... On trouve aussi des coucou ou des cigognes : le généreux donateur de chocolat peut prendre d'autres formes.

Le lapin vient d'une tradition païenne germanique : il était l'emblème de la déesse Ost Ara, symbole de fertilité et du printemps.

Edifiant, non ?

La vraie pâque

Dans une de ses lettres aux disciples de Corinthe, l'apôtre Paul place ceux qui ont cru en Jésus dans une autre fête, avec un autre agneau  immolé pour une autre rédemption et un autre passage, celui qui consiste à passer des ténèbres à la lumière, de la mort à la vie, de la  puissance de Satan à Dieu.

Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé.
Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité. 1 Corinthiens 5.7,8

La veille de sa mort, le Seigneur Jésus-Christ qui célébrait la pâque juive avec ses disciples a institué une nouvelle pâque, celle qui commémore son  sacrifice  pour la rémission des  péchés.

Le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit: Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi.
De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.
Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. 1 Corinthiens 11.23

Dans sa lettre aux disciples de Corinthe, Paul a rappelé les paroles de Jésus :

Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le donna aux disciples, en disant: Prenez, mangez, ceci est mon corps.
Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, en disant: Buvez-en tous; car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés. Matthieu 24.26

Les premiers disciples prenaient chaque jour le repas du Seigneur, ils célébraient et commémoraient quotidiennement son sacrifice et sa résurrection, dans l'attente de son retour, en rompant le pain et en partageant la coupe entre eux.

Ils témoignaient ainsi de leur nouvelle vie de pureté et de vérité en Jésus-Christ.

Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité. 1 Corinthiens 5:8

Dans la réalité de la nouvelle naissance, dont Jésus parlait à Nicodème, nous expérimentons le passage d'une vie de péché à une vie de sainteté et de vérité par l'union avec Lui. C'est cela la vraie pâque, une fête quotidienne dans la  foi  au Fils de Dieu ressuscité !

La célébration du repas du Seigneur, appelé la sainte cène, est la confession de notre union avec  Lui. Lorsque nous mangeons le pain et que nous buvons la coupe nous annonçons  que l'Agneau de Dieu, le Christ, a offert sa vie en sacrifice sur la croix, afin que par la foi en Lui nous passions de la mort à la vie en recevant le pardon de nos péchés.

La coupe de bénédiction que nous bénissons, est la communion au sang de Christ. Le pain que nous rompons est la communion au corps de Christ. 1 Corinthiens 10:16

Christ est notre pâque dans le sens où le jugement qui devait nous atteindre est tombé sur Lui.

Il l'est également parce qu'il nous fait passer de la mort du péché à une vie de résurrection par l'Esprit Saint, nous faisant participer à sa propre résurrection et à sa gloire dans les lieux célestes.

Nous étions morts par nos péchés... Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (c’est par grâce que vous êtes sauvés); il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus-Christ, afin de montrer dans les siècles à venir l’infinie richesse de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus-Christ. Ephésiens 2.1/7

Enfin, il est notre pâque parce qu'il nous délivre d'un pays de ténèbres et d'esclavage pour nous conduire et nous faire entrer dans un royaume nouveau  que Dieu a préparé et promis à ceux qui l'aiment.

Pour les vrais disciples de Christ, la pâque n'est pas  une célébration religieuse annuelle, mais une réalité quotidienne.

La mort de Christ sur la croix et sa résurrection sont, pour ceux qui croient en Lui, les fondements de leur foi, et l'objet d'une grande espérance.

L'apôtre Paul a écrit : Je vous ai enseigné avant tout, comme je l’avais aussi reçu, que Christ est mort pour nos péchés, selon les Ecritures; qu’il a été enseveli, et qu’il est ressuscité le troisième jour, selon les Ecritures. 1 Corinthiens 15.3

Mourir pour vivre

Nous ne pouvons pas parler de la résurrection de Christ sans évoquer ses souffrances et sa mort sur la croix. Nous ne pouvons non plus annoncer une nouveauté de vie en Lui, en omettant une étape indispensable : mourir avec Lui afin de vivre aussi avec Lui, selon ce qu'à écrit l'apôtre Paul :

Cette parole est certaine: Si nous sommes morts avec lui, nous vivrons aussi avec lui; 2 Timothée 2:11

C'est pourquoi il dit aussi : 

J’ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Galates 2:20

J''ai entendu un prédicateur prêcher sur ce passage en parlant de "Christ qui vit en nous". Pendant son discours je réfléchissais aux premiers mots du texte de Paul : "J’ai été crucifié avec Christ".

Je me suis dit que si nous voulons que Christ vive en nous, il fallait premièrement accepter de mourir avec Lui, selon ce qui est encore enseigné :

Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. Romains 6:4

L'apôtre Paul  donne un avertissement solennel lorsqu'il écrit aux disciples d'Ephèse.

Voici donc ce que je dis et ce que je déclare dans le Seigneur, c’est que vous ne devez plus marcher comme les païens, qui marchent selon la vanité de leurs pensées. Ephésiens 4.17

Suivre Jésus c'est renoncer à notre conduite passée, afin de devenir conformes à ce qu'Il  nous enseigne pour mener la vie juste et sainte que produit la vérité.

Nous ne pouvons pas effacer la vérité si nous voulons plaire à Dieu :

Si vous vivez selon la chair, vous mourrez; mais si par l’Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez, car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Romain 8.12-14

C'est impératif ! Il y a un passage incontournable, une porte inévitable, à franchir si nous voulons connaître la réalité d'une nouvelle vie avec Christ, c'est accepter que notre nature pécheresse soit crucifiée avec Lui.

Ceux qui sont à Jésus-Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs. Galates 5:24

C'est aussi cela "la vraie pâque" des disciples de Christ !

Nous ressusciterons

Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l’esprit est vie à cause de la justice.
Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d’entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. Romains 8:10,11

La résurrection est une merveilleuse espérance pour ceux qui sont sauvés, comme le dit le Seigneur Jésus-Christ :

Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi.
Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.
Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Jean 14.1/3

C'est ce qu'écrit aussi l'apôtre Paul :

Car le Seigneur lui–même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement.
Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. 1 Thessaloniciens 4:16,17

Nous attendons la rédemption, la résurrection de notre corps :

"Et ce n'est pas elle seulement; mais nous aussi, qui avons les prémices de l'Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps." Romains 8:23

Notre corps mortel revêtira l'immortalité, la force, la gloire de Christ, il deviendra incorruptible, il sera rendu semblable au corps glorieux du Seigneur Jésus-Christ ressuscité. 1 Corinthiens 15:42 à 54

Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité. 1 Corinthiens 5:8 

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